Gaston Bachelard
La psychanalyse du feu
Folio/essais n°25
[Avant-propos]
Il ne faut pas voir la réalité telle que je suis.
L'Eau et les rêves
Livre de Poche n°4160
[Imagination et matière]
Aidons l'hydre à vider son brouillard.
Mallarmé
Divagations, p. 352
[Les eaux claires, les eaux printanières]
Triste fleur qui croît seule et n'a pas d'autre émoi
Que son ombre dans l'eau vue avec atonie.
[Les eaux claires, les eaux printanières]
... Il y a même eu beaucoup de gens qui se sont noyés dans un miroir...
Ramon Gomez de la Serna
Gustave l'Incongru, trad., p. 23
[Les eaux profondes]
Il faut deviner le peintre pour comprendre l'image.
Nietzsche
Schopenhauer, p. 33
[Le complexe de Caron. Le complexe d'Ophélie]
Silence et lune... Cimetière et nature...
Jules Laforgue
Moralités légendaires, p. 71
[Les eaux composées]
N'applique point à la vérité l'oeil seul, mais tout cela sans réserve qui est toi-même.
Paul Claudel
« Le porc », Connaissance de l'Est, p. 96
[L'eau maternelle et l'eau féminine]
... et, comme aux temps anciens,
tu pourrais dormir dans la mer.
Paul Éluard
Les Nécessités de la vie
[Pureté et purification]
Tout ce que le coeur désire peut toujours se réduire à la figure de l'eau.
Paul Claudel
Positions et Propositions, II, p. 235
[La suprémacie de l'eau douce]
Toute eau était douce pour l'Égyptien, mais surtout celle qui avait été puisée au fleuve, émanation d'Osiris.
Gérard de Nerval
Les Filles du feu, p. 220
[L'eau violente]
C'est une très funeste tendance de notre âge de se figurer que nature c'est rêverie, c'est paresse, c'est langueur.
Michelet
La Montagne, p. 362
[L'eau violente]
L'Océan bout de peur.
[La parole de l'eau]
Je tiens le flot de la rivière comme un violon.
Paul Éluard
Le Livre ouvert
[La parole de l'eau]
Miroir moins que frisson... à la fois pause et caresse, passage d'un archet liquide sur un concert de mousse.
Paul Claudel
L'Oiseau noir dans le Soleil levant, p. 230
L'Intuition de l'instant
Livre de Poche biblio/essais n°4197
[1. L'instant]
Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui.
[1. L'instant]
Nous aurons perdu jusqu'à la mémoire de notre rencontre...
Pourtant nous nous rejoindrons, pour nous séparer et nous rejoindre encore,
Là où se rejoignent les hommes trépassés : sur les lèvres des vivants.
[2. Le problème de l'habitude et le temps discontinu]
Toute âme est une mélodie qu'il s'agit de renouer.
[3. L'idée du progrès et l'intuition du temps discontinu]
Si l'être que j'aime le plus au monde (venait) me demander quel choix il lui faut faire, et quel est le refuge le plus profond, le plus inattaquable et le plus doux, je lui dirais s'abriter sa destinée dans le refuge de l'âme qui s'améliore.
L'air et les songes
Livre de Poche biblio/essais n°4161
[Introduction]
Les poètes doivent être la grande étude du philosophe qui veut connaître l'homme.
[1. Le rêve de vol]
Aux pieds j'ai quatre ailes d'alcyon, j'en ai deux par cheville, bleues et vertes qui sur la mer salée savent tracer des vols sinueux.
G. D'Annunzio
Undulna, trad. Tosi.
[2. La poétique des ailes]
Les ailes impalpables sont celles qui volent le plus loin. Toute vierge peut être une messagère...
G. D'Annunzio
La Ville morte, acte 1er, scène III.
[3. La chute imaginaire]
Les ailes nous manquent, mais nous avons toujours assez de force pour tomber.
Claudel
Positions et Propositions, II, p. 237.
[4. Les travaux de Robert Desoille]
Et si tu avais bien ouvert les yeux sur ce seul mot : s'éleva...
[5. Nietzsche et le psychisme ascensionnel]
... Le lieu où nous sommes, Malchut, est le milieu de la Hauteur.
O. V. de L. Milosz
Psaumes du Roi de Beauté
[6. Le ciel bleu]
Il faut être capable de refléter même les choses les plus pures.
Gide
Journal, OE. C. I, p. 491.
[7. Les constellations]
Ô quel Taureau, quel Chien, quelle Ourse,
Quels objets de victoire énorme.
Quand elle entre aux temps sans ressource
L'âme impose à l'espace informe.
Paul Valéry
Chames, Ode secrète
[8. Les nuages]
Jeu des nuages - jeu de la nature, essentillement poétique...
Novalis
Fragments, éd. Stock, p. 132.
[9. Les nébuleuses]
Minuit un quart; quels bords te voient passer, aux nuits anonymes, ô Nébuleuse-mère...
Jules Laforgue
Préludes autobiographiques, Oeuvres complètes, II, p.64.
[10. L'arbre aérien]
Sans cesse, l'arbre prend son élan et frémit des feuilles, ses innombrables ailes.
André Suares
Rêves de l'Ombre, p. 62.
[11. Le vent]
Mais point ne suis la mer ni le rouge soleil
Point ne suis le vent au rire de jouvencelle,
Ni l'immense vent qui invigore, ni le vent qui fouette.
Ni l'esprit qui fouette à jamais son propre corps
Jusqu'à l'épouvnte de la mort.
Walt Whitman
Feuilles d'herbe. Chant de la Bannière à l'aurore, trad. Bazalgette, t.II, p.15.
[12. La déclamation muette]
La respiration est le berceau du rythme.
Cité par K. Kippenberg, dans son livre sur Rilke, p. 219.
[Conclusion (Première partie) : L'image littéraire]
Heard melodies are sweet, but those unheard
Are swetter; therefore, ye soft pipes, play on :
Not to the sensual ear, but, more endera'd.
Pipe to the spirit ditties of on tone...
Les mélodies que l'on entend sont douces mais cells que l'on n'entent pas
Sont plus douces encore : aussi, tendre pipeaux, jouez toujours,
Non pas à l'oreille sensuelle, mais plus séduisants encore
Modulez pour l'esprit des chants silencieux...
Keats
Ode à l'urne grecque, trad. E. de Clermont-Tonnerre
[Conclusion (Deuxième partie) : Philosophie cinématique et philosophie dynamique]
Doué d'une vue plus subtile, tu verras toutes choses mouvantes.
Nietzsche
Volonté de puissance, Trad. Bianquis, t. 1, p. 217.
La Terre et les rêveries de la volonté
Corti/Les Massicotés n°1
[Préface : L'imagination matérielle et l'imagination parlée]
Tout symbole a une chair, tout songe une réalité.
O. Milosz
L'Amoureuse Initiation, p. 81.
[1. La dialectique de l'énergétisme imaginaire. Le monde résistant]
... L'hostilité
nous est plus proche que tout.
Rilke
Élégies de Duino, IV
[1. La dialectique de l'énergétisme imaginaire. Le monde résistant]
Le travail manuel est l'étude du monde extérieur.
[2. La volonté incisive et les matières dures. Le caractère agressif des outils]
Tu as un coeur pour l'espérance
et des mains pour le travail.
O. V. de L. Milosz
Miguel Manara, p.78.
[3. Les métaphores de la dureté]
Le houx? - Il est la rage de la terre.
Verhaeren
Les Douze Mois, Avril, p. 224.
[4. La pâte]
Il faut voir l'intérieur attaquant la concupiscence. Quel boulanger plongea jamais d'aussi énomes mains dans son pétrin? Quel boulanger vit-on pareillement accablé par la montagne mouvante, montante, croulante, de la pâte? Une pâte qui cherche le plafond et le crèvera.
Henri Michaux
Plume, p. 131.
[5. Les matières de la mollesse. La volorisation de la boue.]
Mon âme est pétrie de boue, de tendresse et de mélancolie.
Rozanov
Esseulement, trad., p. 120
[5. Les matières de la mollesse. La volorisation de la boue.]
... La boue n'est pas un oreiller.
Queneau
N.R.F., déc. 1936
[6. Le lyrisme dynamique du forgeron]
Mon cerveau semble battre contre le métal solide; mon crâne d'acier est d'une sorte qui n'a besoin d'aucun casque dans cette bataille que martèle le cerveau.
Melville
Moby Dick, trad. p. 155.
[7. Le rocher]
Parla à la pierre dans sa langue - et la montagne à ta parole - dévalera dans la vallée.
[8. La rêverie pétrifiante]
Quand, enfant, je vis pour la première fois prendre le plâtre, j'eux un chos et j'entrai en méditation. Je ne pouvais me détacher du spectacle. Ce n'était encore qu'un spectacle, mais je sentais obscurément, à la façon dont j'en eus l'esprit saisi jusqu'aux reins, qu'il y avait là quelque chose, dont j'aurais aussi à me servir un jour.
Henri Michaux
Liberté d'Action, p. 25.
[9. Le métallisme et le minéralisme]
Like acid on metal : I start.
Comme un acide sur le métal, je travaille.
Cecil Day Lewis
Le Pouvoir des Mots
[10. Les cristaux. La rêverie cristalline]
... Ils se hélèrent de gemme en gemme. Et subitement la montagne perdit ses bagues d'émeraude.
Makhali-Phal
Nârâyana, p. 212.
[11. La rosée et la perle]
Et tu ne sauras pas si c'est le cristal d'eau qui de la terre monte au ciel, ou si c'est le ciel qui jusqu'à ton ombre incline son espace de cristaux.
Adam Mickiewicz
Lettre 8, trad. O. de Milosz
[12. La psychologie de la pesanteur]
L'allure morale de l'homme ressemble à son allure physique, laquelle n'est qu'une chute continue.
J. P. Richter
La Vie de Fixlein, trad. p. 28.
Le matérialisme rationnel
Quadrige/PUF n°118
[Introduction : Phénoménologie et matérialité]
Il faudra offrir encore à la matière de grands sacrifices pour qu'elle pardonne les vieilles offenses.
Henri Heine
De l'Allemagne, nouv. édit., 1884, t. I, p. 81.
[1. Le rationalisme arithmétique de la matière sous des formes prématurées]
On a beau se moquer de ses béquilles, on ne marche pas mieux pour cela.
Henri Heine
De l'Allemagne, nouv. édit., 1884, t. I, p. 117.
[2. Le paradoxe du matérialisme des philosophes. De la généralité à la spécificité. De l'homogénéité à la pureté.]
Le métal n'est que virtuellement différencié.
Hegel
La philosophie de la nature, #332
[3. La systématique moderne des corps simples]
Je ne citerai point tous ces métaux modernes
De leurs nombreux aînés, familles subalternes;
J'attends que le savoir parmi leurs vieux parents,
À leur race nouvelle ait assigné les rangs.
Abbé Delille
Oeuvres complètes, t. II, p. 9
[3. La systématique moderne des corps simples]
Tout ce qui peut se ranger lui plaisait.
G. Cuvier
Éloge de Werner
[4. Le matérialisme composé]
Nous avons été capables de créer des formes bien avant de savoir créer des concepts.
Nietzsche
La Volonté de puissance, trad. Bianquis, t. II, p. 320.
[5. Les liaisons doubles. La mésomérie.]
Plus une méthode est nouvelle et féconde, plus elle étend le champ de l'inconnu.
Joseph Bertrand
D'Alembert, p. 41
[6. Le rationalisme de l'énergie en chimie]
Mais avant? Rien qu'elle: une énergie sans âge.
Robert Ganzo
Colères, IV.
[7. Le rationalisme de la couleur]
L'étain a la propriété d'exalter la couleur rouge des végétaux; ce qui est connu des cuisinières qui ne manquent pas de mettre une cuiller d'étain dans la compote de poires pour lui donner une belle couleur rouge.
Sage
Analyse chimique et correpondance des trois règnes, 1786, t. III, p. 210.
[Conclusion : Connaissance commune et connaissance scientifique]
Peu d'hommes ont une connaissance nette de la ligne de démarcation qui sépare le connu du connu.
Lord Frazer
Esprits des blés et des bois, Préface.
[Conclusion : Connaissance commune et connaissance scientifique]
Ce sont plutôt les générations qui se corrigent, que les hommes: c'est la jeunesse encore exempte de préjugés, et indifférente aux systèmes qui en juge le plus sainement.
De Luc
Lettres physiques et morales sur l'histoire de la terre et de l'homme, Paris, 1779, t I, p. 174
La dialectique de la durée
Quadrige/PUF n°104
[Détente et néant]
Oh ! qui me dira comment au travers de l'existence ma personne tout entière s'est conservée, et quelle chose m'a porté, inerte, plein de vie et chargé d'esprit, d'un bord à l'autre du néant ?
La Terre et les Rêveries du Repos
José Corti, 1948
[Avant-propos]
La terre est un élément très propre pour cacher et manifester les choses qui lui sont confiées.
[1. Les rêveries de l'intimité matérielle]
[I]
Vous voulez savoir ce qui se passe à l'intérieur des choses et vous vous contentez de considérer leur aspect extérieur; vous voulez savourez la moelle et vous collez à l'écorce.
Franz von Baader
cité par Susini, thèse, t. I, p. 69.
[1. Les rêveries de l'intimité matérielle]
[I]
Je voulais être comme l'araignée qui tire de son ventre tous les fils de son oeuvre. L'abeille m'est odieuse et le miel est pour moi le produit d'un vol.
Papini
Un Homme fini, trad., p. 261
[2. L'intimité querellée]
[I]
L'être intérieur a tous les mouvements.
[4. La maison natale et la maison onirique]
[II]
Épouse et n'épouse pas la maison.
René Char
Feuille d'Hypnos, in Fontaine, oct. 1945, p. 635.
[4. La maison natale et la maison onirique]
[II]
Recouverte de chaume, vêtue de paille, la Maison ressemble à la Nuit.
Louis Renou
Hymnes et Prières du Veda, p. 135
[5. Le complexe de Jonas]
Les gras n'ont pas le droit de se servir des mêmes mots et des mêmes phrases que les maigres.
Guy de Maupassant
Le Colporteur, Lettre trouvée sur un Noyé, p. 169
[5. Le complexe de Jonas]
[II]
... usage externe, usage interne. Il n'y a pourtant, dans le corps humain, cette illusion du «dedans» et du «dehors» que parce que l'homme depuis tant de mille ans qu'il n'est plus l'hydre à l'estomac retournable, a perdu la souplesse de pouvoir mettre des tissus, comme certains vêtements bretons, à l'envers et à l'endroit...
Alfred Jarry
Spéculations, 1911, p. 232
[6. La Grotte]
[II]
Don Quichotte sortant de la grotte de Montésinos : « Ce n'est point un enfer, c'est le séjour des merveilles. Asseyez-vous, mes enfants, écoutez bien et croyez. »
Cervantès
Don Quichotte de la Manche, trad. Florian, partie II, chap. XX.
[7. Le Labyrinthe]
[II]
Le poids des murs ferme toutes les portes.
Paul Éluard
Poésie ininterrompue
[8. Le Serpent]
[III]
Les serpents font en rampant quatre plis différents... les serpents ne peuvent ramper si on leur a coupé les parties du corps qui font les derniers plis de leur mouvement.
La Chambre. Discours sur les Principes de la Chiromancie, Paris, 1653, . 40.
[9. La Racine]
[III]
Personne ne sait si son corps est une plante que la terre a faite pour donner un nom au désir.
[10. Le Vin et la vigne des alchimistes]
[III]
Comme me disait Gaston Roupnel, la vigne crée tout, même son sol. «C'est la vigne elle-même qui, en entassant ses débris et ses déchets, s'est contruit son propre terroir, et s'y est composé la noble et subtile essence dnt elle nourrit son fruit.»
Gaston Roupnel
Histoire de la Campagne française
[3. L'imagination de la qualité. Rythmanalyse et tonalisation]
À écrire on s'expose directement à l'excès.
Henri Michaux
Liberté d'Action, p. 41
L'activité rationaliste de la physique contemporaine
PUF, 1965
[Les tâches de philosophie de sciences]
Ah ! comprendre le monde cette fois ou jamais.
Henri Michaux
Plumes, p. 114.
[1. Les récurrences historiques.]
La connaissance la plus ancienne au point de vue historique ne doit pas nécessairement rester la base de la compréhension des faits découverts plus tard.
Mach
La mécanique, trad., p. 165
[2. Le mouvement et les philosophes]
- Écoute ! Si par lassitude un seul instant, tu t'arrêtais,
Aussitôt l'univers tremblerait dans les blocs de sa matière...
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Aussitôt le plus petit atome, dans la masse inerte en réserve, et déformé par l'immobilité, viendrait avec son trait d'impureté et de souffrance !
Rabindranath Tagore
Cygne, trad., p. 39.
[3. La notion de corpuscule dans la science contemporaine]
Aie la contemplation atomistique de l'Univers.
Marcel Schwob
Le livre de Monelle, p. 27.
[4. La diversité des corpuscules élémentaires]
Quelle imposante découverte ne serait-ce pas, si l'on parvenait à déduire de la lumière rayonnante les propriétés par lesquelles les électricités neutralisées se signalent !
Berzelius
Traité de chimie..., trad., 1829, T. I., p. 45.
[5. Le rationalisme de l'énergie]
I believe many will discover in themselves a longing for mechanical explanation which has all the tenacity of original sin.
Je crois que plusieurs découvriront en eux-mêmes un fort penchant pour l'explicatoin mécanique qui a toute la ténacité du péché originel.
P.-W. Bridgman
The logic of Modern Physics, 1932, p. 47.
[6. L'effet photoélectrique. - Photon]
Un corps se comporte à l'égard de l'espace comme un objet visible à l'égard de la lumière.
Novalis
Fragments isolés, trad., Stock, p. 131.
[7. Le spin et le magnéton]
Imaginons une disposition par laquelle nous puissions convertir à volonté les roues de la locomotive en aimants très puissants; alors nous gravirions avec facilité toutes les hauteurs.
Liebig
Lettres sur la Chimie, trad., 1845, p. 118.
[8. Les opérateurs]
Quand une théorie paraît probable, soyez sûrs qu'elle est fausse.
[9. Les intuitions de la mécanique ondulatoire]
... Des petits ronds naissaient, s'élargissant, indéfiniment. C'était comme un jeu où se perdait l'esprit des hommes.
Françoise de Ligneris
Les chroniques du petit monstre, p. 219
[10. La dualité corpuscule et onde]
Euphorion ou Épiphanie ?
[Déterminisme rationnel et déterminisme technique]
Il est téméraire de rechercher les causes physiques, mais c'est en ayant le courage à la fois de formuler des théories et de les rejeter ensuite que la connaissance de la Nature avance.
Henry-Norris Russell
Les Novae et les Naines blanches, I, 1941, p. 4.