[Première partie]
L'hiver est la seule saison où nous sommes sûrs que les Highlanders ne peuvent pas s'échapper en emportant femmes, enfants et bétail dans les montagnes... C'est le bon moment pour les tailler en pièces dans la nuit noire.

[Deuxième partie]
On ne lutte pas contre la force du destin.

[Troisième partie]
La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps.

[Quatrième partie]
La vengeance n'efface pas l'outrage.

[Cinquième partie]
Vous êtes mon amour, craignez d'être ma haine.

[Première partie: 1715]
Pour les Écossais, la cruauté aura été un de leurs pires défauts, mais elle aura été sauvegarde.

[Deuxième partie]
Le passé est un prologue.

[Troisième partie]
Le monde est une comédie dont les hommes sont les spectateurs.

[Quatrième partie]
Si la raison gouvernait les hommes,
si elle avait sur les chefs des nations l'empire qui lui est dû,
on ne les verrait point se livrer inconsidérément aux fureurs de la guerre.

[Cinquième partie]
Épargne-toi du moins le tourment de la haine;
à défaut du pardon, laisse venir l'oubli.

[Sixième partie]
Depuis que le monde est monde,
il n'y a jamais eu d'homme étranglé par une femme
pour lui avoir dit qu'il l'aimait.

[Septième partie]
Il est des gens qui n'embrassent que des ombres;
ceux-là n'ont que l'ombre du bonheur.

[Huitième partie]
Le destin est ce qui nous arrive au moment où on ne s'y attends pas.

[Épilogue]
On pleure ainsi parce qu'on a dans la mémoire des larmes universelles que la mort a fait répandre.

L’exil n’est pas de se trouver en pays étranger, mais plutôt de se trouver dans le corps d’un être qu’on ne connaît pas.

[Première partie]
Ô Seigneur, ouvrez-moi les portes
de la nuit afin que je disparaisse

[Deuxième partie]
Les Highlanders sont hardis, intrépides, accoutumés à un pays rude et ce n’est pas un grand mal s’ils tombent.
Comment mieux utiliser un ennemi secret en faisant
en sorte que sa fin contribue au bien commun?

[Troisième partie]
Même longtemps après que les nuages se furent dissipés, que les pleurs et les cris se furent évanouis, le vaincu reste le vaincu aux yeux du conquérant. Il est traité avec mépris, accablé d’opprobre.
On oublie sa vaillance au combat.
On l’accuse d’être la cause de sa propre perte.

Apprendre à être heureux se fait trop souvent dans la souffrance.

[Première partie]
La haine, c’est l’hiver du cœur.

[Deuxième partie]
On dit toujours que la joie ne fait pas mal, et voilà pourquoi je suis entré ici sans préparation. Voyons, souris-moi, au lieu de me regarder comme tu le fais avec des yeux égarés. Je reviens et nous allons être heureux.

[Troisième partie]
Quand on ne trouve pas le repos en soi-même,
il est inutile de le chercher ailleurs.